«J'évite d'avoir le sens du ridicule, comme certains qui se disent sarkozystes le lundi, juppéistes le mardi, et fillonistes le mercredi. Au final, on ne sait pas ce qu'ils sont à la fin de la semaine. Cela m'afflige».Un élément est aussi de nature à inquiéter l'ex-édile niçois: la proximité de François Fillon avec Sens Commun (l'émanation politique de la Manif pour tous, ndlr).
«Cela m'inquiète et j'ai eu l'occasion de le dire à François Fillon. Il ne peut pas confier l'organisation de la campagne à la frange la plus radicale de notre famille politique s'il veut rassembler plus d'un Français sur deux. Je respecte cette frange, mais elle est minoritaire. Face au FN, il ne faut pas ressembler, il faut rassembler», conclut-il.
Source : Le Figaro du 20/03/2017
NDLR : RAA (rien à ajouter)