lundi 22 octobre 2012

Dissolution de l'EPADESA, une question d'actualité.


« L’Epadesa sera un aménageur durable », affirme Cécile Duflot
Alors que le maire de Nanterre, Patrick Jarry, a demandé ce jeudi « la dissolution » de l'Etablissement public d’aménagement de La Défense-Seine-Arche (Epadesa) à la suite de la publication du pré-rapport de la Cour des Comptes dans Le Monde, la ministre de tutelle Cécile Duflot souhaite que l’établissement devienne « un aménageur durable ». Détails.

Territoires garennois cédés à l'Epad par le maire Ph. Juvin
« Pour un changement en profondeur du développement de l'Ouest parisien, j'appelle à la dissolution de l'Epadesa », a réclamé le jeudi 18 octobre le maire de Nanterre Patrick Jarry. Dans un communiqué, l'élu communiste estime que le modèle économique de l'établissement public est « à bout de souffle ».

« Alors qu'actuellement 400.000 m² de bureaux nouveaux sont en cours de construction, les droits à construire tirés de ces opérations ne suffiront pas. En effet, les charges foncières sont revues à la baisse pour attirer les investisseurs, à tel point que certaines tours pourraient ne rien rapporter à l'instar du projet de la tour Phare », explique le maire de Nanterre, dont une partie du territoire fait partie du périmètre d'opération de l'Epadesa.

Pour l’élu, le Gouvernement doit « faire preuve de courage » pour insuffler un projet « solidaire et durable » à l’Établissement public d'aménagement de la Défense Seine-Arche sous tutelle de l'Etat.

Lors du conseil d’administration de l’établissement, la ministre de tutelle Cécile Duflot a déclaré via un texte lu par le préfet des Hauts-de-Seine que l'action de l'Epadesa « doit s'inscrire dans un aménagement concerté avec les communes et leurs groupements, dans le respect des prérogatives de chacun mais au service d'un projet commun ».

Rendre public le rapport le rapport de l’IGF et de la Cour des comptes

D’après la ministre, la contribution des collectivités n'est « pas à la hauteur des enjeux financiers liés à la gestion de l'Epadesa » et le gouvernement souhaite donc réfléchir « à une évolution de cette situation ».

Par ailleurs, Cécile Duflot s’est engagée à rendre publics les deux rapports sur la gestion de l'Epadesa: celui réalisé notamment par l'Inspection général des finances (IGF), terminé en juin, et celui de la Cour des comptes, actuellement en phase contradictoire.

samedi 20 octobre 2012

jeudi 18 octobre 2012

Le quartier de la Défense risque le naufrage financier. Les garennois devront-ils payer ?


Dernière minute  LE FIGARO
Cécile Duflot, en charge du Grand Paris, envisage de faire une loi d'ici le printemps 2013 pour revoir la gouvernance du quartier d'affaires jugée déficiente dans un pré-rapport de la Cour des comptes.

Pour le financement du quartier d'affaires, l'État va demander aux cinq communes (Puteaux, Courbevoie, Nanterre, La Garenne-Colombes…) intéressées au développement du quartier d'affaires de mettre plus la main au porte-monnaie.


La Défense est au bord du gouffre. 

Le premier quartier d'affaires d'Europe ne construit plus assez de tours pour équilibrer son modèle économique. La Cour des comptes dénonce les "dérives" de gestion et émet de "sérieux doutes sur l'équilibre financier final" de l'Etablissement public d'aménagement de la Défense Seine Arche (Epadesa, ex-EPAD), dans un pré-rapport qu'elle vient de rendre sur la gestion de l'établissement de 2006 à 2011 et que Le Monde s'est procuré.
En 2010, dans un rapport non rendu public, l'Inspection générale des finances (IGF) et le Conseil général de l'environnement et du développement durable (CGEDD) prédisaient, eux, un "déficit" financier de l'Epadesa en 2016. L'IGF et le CGEDD persistent dans ce diagnostic dans une note de juin 2012 à laquelle Le Monde a eu accès.

PROJETS DE TOURS HYPOTHÉTIQUES
Ils déplorent "l'optimisme non documenté" de la direction de l'Epadesa "sur la rentabilité escomptée" des opérations commerciales à venir, et mettent en garde contre le "risque de fuite en avant" qui consiste à prétendre combler un passif avec des projets de tours qui restent hypothétiques.
Futurs bureaux de la place de Belgique
A lire ces rapports, il apparaît que la Babel de l'immobilier d'entreprise n'aura plus, à court terme, les moyens ni de son aménagement ni de la rénovation de ses équipements, pour beaucoup obsolètes. Sauf à faire appel aux collectivités locales.
Pourtant, mardi 2 octobre, l'ambiance était à la fête : un plantureux buffet réunissait le gratin des promoteurs et des géants du BTP français pour la pose de la première pierre de la future tour D2, au cœur du quartier d'affaires, 175 mètres de haut, 37 étages, livraison prévue en 2014. Pour s'offrir cet édifice de verre fuselé par une résille de béton, la Sogecap, filiale de la Société générale, a acheté plus de 56 000 mètres carrés de droits à construire à l'Epadesa. La D2 est l'une des quatre tours en chantier sur le site.

LES INVESTISSEURS SE RARÉFIENT
Depuis 2011, la vente de mètres carrés de bureaux est repartie à la hausse grâce aux capitaux étrangers. Mais ce regain ne suffira pas à sauver la Défense. L'Epadesa vend des droits à construire sur un périmètre de 564 hectares qui s'étend en partie sur Puteaux, Courbevoie et Nanterre (Hauts-de-Seine). A charge pour cet établissement sous tutelle de l'Etat d'aménager le site, ses accès routiers, les espaces autour des tours.
Or les investisseurs se raréfient. Pour les attirer, l'Epadesa a baissé le prix des droits à construire. Ils sont passés de 2 300 euros le m2, en moyenne, en 2007, à 1 700 en 2012. Il vend moins car les terrains à bâtir sont plus rares sur son périmètre. Les derniers interstices constructibles sont souvent traversés par des voies routières ou des infrastructures qui nécessitent des travaux d'aménagement coûteux pour l'Epadesa.
Ainsi, la tour Phare, imaginée par l'architecte Thom Mayne, haute de 300 mètres, qu'Unibail a prévu de livrer en 2017 sur Puteaux serait, selon le rapport de l'IGF, une opération déficitaire pour l'Epadesa. La future icône de la Défense, qui fait l'objet de recours des habitants, serait construite sur pilotis au-dessus d'un axe routier. Elle suppose donc un aménagement du terrain à grands frais que devrait assumer l'Epadesa.

"PARTI PRIS D'OPTIMISME"
La Cour des comptes reconnaît que, depuis 2011, la gestion de l'établissement a été "assainie et modernisée". Mais elle met en doute la "fiabilité" des perspectives de marges escomptées sur les opérations immobilières à venir. A ses yeux, l'Epadesa a un "parti pris d'optimisme" dans la présentation de ses comptes.
Le "risque de déficit" annoncé "pour 2016" par l'IGF et le CGEDD ne serait toutefois pas aussi certain, explique leur rapport, si l'Epadesa n'avait pas à supporter, outre le coût croissant des aménagements, de nouvelles charges d'exploitation.

REMISE EN ÉTAT COÛTEUSE
Le 1er janvier 2009, la propriété des espaces publics, des équipements et des œuvres d'art de la Défense a été transférée à un établissement local de gestion et d'animation baptisé Defacto. Présidé par Patrick Devedjian, patron (UMP) du conseil général des Hauts-de-Seine, Defacto est en partie financé par les collectivités locales. Ce qui, normalement, devrait alléger la charge de l'Epadesa. Mais ce dernier est tenu de payer la remise en état des biens transférés en se basant sur les factures que lui adresse Defacto.
Or pendant cinquante ans, l'établissement public n'a guère entretenu le patrimoine de la Défense, qu'il s'agisse de sa dalle, des sous-sols, des escaliers ou des parkings. Si bien que le coût des réparations se révèle aujourd'hui très élevé. Il s'ajoute à d'autres charges pour l'Epadesa, comme la rénovation des tunnels, qui n'a quasiment jamais été engagée depuis 1958. "Alors que la création de Defacto devait alléger la charge financière de l'EPAD, les arbitrages rendus en 2008 ont un effet contraire pour de nombreuses années", déplore la Cour.

IMAGE DÉGRADÉE
Elle juge que l'obligation faite à l'Epadesa de prendre à son compte la réparation de tout vice caché découvert dans les trente ans qui viennent "va très au-delà des obligations légales". Le ministère du budget, dans une note de 2010 jointe au rapport de l'IGF, va jusqu'à juger "illégale" cette garantie.
Par ailleurs, un procès oppose l'Epadesa et Defacto. Il concerne l'usage commercial de certains espaces publics. Le bras de fer porte sur plusieurs millions d'euros. Ce conflit "dégrade l'image des deux établissements aux yeux des investisseurs", estime la Cour, qui préconise de "modifier le dispositif législatif" qui régit leurs relations.

Pour l'IGF, la contribution des collectivités territoriales * au financement de Defacto doit augmenter pour être "à la hauteur des enjeux". Une évolution indispensable, selon l'Inspection générale des finances, pour sauver le quartier de la Défense.

* Donc de La Garenne-Colombes, fraichement associée à ce puits sans fond ...

Bureaux en construction sur l'ancienne place de Belgique, réduite désormais à un simple carrefour


mercredi 17 octobre 2012

La vérité doit être dite sur l’organisation criminelle de l’OAS que certains, au sein de l’ancienne majorité présidentielle ont voulu réhabiliter




17 octobre 1961- 17 octobre 2012
51ème anniversaire


Le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers d’Algériens manifestaient pacifiquement à Paris contre le couvre feu discriminatoire qui leur avait été imposé par Maurice Papon*, préfet de police de Paris. Ils défendaient leur droit à l’égalité, leur droit à l’indépendance et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ce jour-là, et les jours qui suivirent, des milliers de ces manifestants furent arrêtés, emprisonnés, torturés –notamment par la "force de police auxiliaire" - ou, pour nombre d’entre eux, refoulés en Algérie. Des centaines perdirent la vie, victimes d’une violence et d’une brutalité extrême des forces de police.

51 ans après, la Vérité est en marche. Cependant, la France n’a toujours pas reconnu sa responsabilité dans les guerres coloniales qu’elle a menées, - en particulier la Guerre d’Algérie - non plus que dans le cortège de drames et d’horreurs qu’elles ont entraînés, comme ce crime
dÉtat que constitue le 17 octobre 1961. Certains osent encore aujourd’hui continuer à parler des "bienfaits de la colonisation", à célébrer le putsch des généraux à Alger contre la République.
Dans ce domaine, le changement doit être maintenant, il est nécessaire que des mesures significatives soient prises :
- Redéfinition de la "Fondation pour la mémoire de la Guerre d’Algérie ", (dotée de plus de 7 millions d’euros), créée en application de l’article 3 de la loi du 23 février 2005 (dont l’abrogation est demandée sous sa forme actuelle) vantant les "aspects positifs de la colonisation". Cette Fondation est sous la coupe d’associations nostalgiques de l’Algérie Française qui voudraient exiger des historiens qu’ils se plient à la mémoire de "certains" témoins.
- Pour être fidèles à leur mission scientifique, les historiens ont besoin de pouvoir accéder librement aux archives, échapper aux contrôles des pouvoirs ou des groupes de pression et travailler ensemble, avec leurs homologues de l’autre rive de la Méditerranée.


"La vérité doit être dite sur l’organisation criminelle de l’OAS que certains, au sein de l’ancienne majorité présidentielle ont voulu réhabiliter."


Ce n’est qu’à ce prix que pourra disparaître la séquelle la plus grave de la Guerre d’Algérie, à savoir le racisme dont sont victimes aujourd’hui nombre de citoyennes et citoyens, ressortissants d’origine maghrébine ou des anciennes colonies, y compris sous la forme de violences policières récurrentes, parfois meurtrières
On ne construit pas la démocratie sur des mensonges et des occultations. Après un demi-siècle, il est temps  :
- que les plus hautes autorités de la République reconnaissent les massacres commis par la police parisienne le 17 octobre 1961 et les jours suivants, comme un crime d’État.
- que la Fondation pour la Mémoire de la Guerre d’Algérie soit redéfinie sur des bases totalement différentes.
- que lÉtat français reconnaisse sa responsabilité dans l’internement arbitraire, pendant la Guerre d’Algérie, d’Algériens dans des camps.
- que lÉtat français reconnaisse sa responsabilité dans l’abandon des harkis, les massacres et l’enfermement dans les camps en France en 1962.
- que la liberté d’accès aux archives soit effective pour tous, historiens et citoyens.
- que la recherche historique sur ces questions soit encouragée, dans un cadre franco-algérien, international et indépendant.
Avec le 50ème anniversaire de la fin de cette Guerre d’Algérie, nous attendons des plus hautes autorités de la République qu’elles reconnaissent les responsabilités de la France afin qu’une page nouvelle s’ouvre sur l’amitié et la fraternité entre les peuples algérien et français.

Rassemblement le 17 Octobre 2012 à 18h au Pont Saint Michel à PARIS


Ndlr : N'est-ce pas Philippe Juvin, maire UMP de la petite ville de La Garenne-Colombes (92) qui a tant voulu baptiser un nouveau collège de nom de l'écrivain d'extrême droite Kleber Haedens, membre de l'OAS (comme Jacques Laurent) et rédacteur de 1961 à 1968 du journal "Le Nouveau Candide", réputé pour être la pompe à finances du mouvement terroriste ? Oui !

N'est-ce pas le même Philippe Juvin qui ce mois-ci encore cite dans l'éditorial du bulletin municipal de La Garenne-Colombes, Paul Morand. Un écrivain au regard en permanence figé sur le rétroviseur, pétainiste (ambassadeur de Vichy en Roumanie) et fervent défenseur de l'action terroriste de l'OAS ? Si, encore !

Tenter sournoisement de réhabiliter Kleber Haedens et Morand, c'est célébrer l'extrême droite d'avant, pendant et d'après la guerre au travers le régime de Vichy et l'OAS. Un comportement pour le moins étrange dans une ville que rien ne prédispose à l’extrémisme.

dimanche 14 octobre 2012

Philippe Juvin aime citer Paul Morand ... rétrograde, antisémite et homophobe !


Journal municipal de la Garenne-Colombes, octobre 2012.

Édito

Lors d'un habituel et redondant élan lyrique Philippe Juvin voulant sans doute faire encore (ici) œuvre d'intellectualisme mondain se complait à paraphraser Paul Morand.

Paul Morand (1888-1976)
Écrivain, oui mais indéfendable lépreux d'extrême droite, ambassadeur en Roumanie du régime de Vichy en 1942, grand admirateur de Laval, soutenu par les nazis pour ses publications, soutenant plus tard l'OAS comme tous ses amis hussards, rétrograde, antisémite et homophobe.
Pas un jour ne se passait sans que Morand ne crache sa haine des juifs et des pédés ...

Son dernier roman s'intitule Tais-toi. Certains feraient mieux de suivre son conseil.

On ne s'en étonnera pas, Paul Morand, carbonisé pendant l'été 1976 légua sa cave à son grand ami Kleber Haedens, desséché lui aussi par la même canicule.

On s'en souvient, le maire Philippe Juvin, grand admirateur de ces écrivains ayant fricoté avec le régime de Vichy sans jamais se repentir, avait déjà tenté de baptiser le collège de la Garenne-Colombes, Kleber Haedens.

Outre le désir envahissant de toujours faire preuve de grande culture (le thème de l'édito d'octobre) ou soucieux d'envoyer des messages à peine codés à un électorat d'extrême droite Philippe Juvin ne serait-il pas en train de préparer le terrain pour une médiathèque ou un théâtre Paul Morand ?

Tout est bon en politique, surtout le pire ...

La Garenne-Colombes Infos N° 258 Octobre 2012 - Éditorial


Ndlr : pour paraphraser à notre tour un autre écrivain, le grand Jean d'Ormesson venu à la Garenne-Colombes à la rescousse de Philippe Juvin défendre l'indéfendable Kleber Haedens pour nom de collège (voir ici) (ou écouter là) nous dirons : oui Paul Morand était d'extrême droite, est-ce que Philippe Juvin est d'extrême droite ? Certainement non ...



jeudi 11 octobre 2012

Pas besoin de parking place de la Liberté : enfin majorité et opposition municipales sont d'accord !


Depuis des lustres la majorité municipale de la Garenne-Colombes avait  en projet la construction d'un parking souterrain place de la Liberté à La Garenne-Colombes, sous l'église, au cœur de la ville, là où se tient le marché les mercredis et samedis. Là où se tiennent aussi toutes les manifestations festives ou commémoratives, les brocantes et grandes fêtes. Un projet défendu mordicus par le maire UMP Philippe Juvin comme faisant partie de ses grands projets pour la ville comme le collège qu'il voulait baptiser Kleber Haedens ou la médiathèque.

Un projet jugé stupide par une grande majorité de garennois puisque localisé à un endroit où il n'y a PAS de problème de stationnement (voir vue aérienne de la zone) sauf quelques jours par an quand se tiennent la fête de la Garenne et autres brocantes, c'est à dire des jours où il serait justement plus judicieux de dévier complètement la circulation pour ne pas au contraire attirer les véhicules à moteur précisément à cet endroit.


Depuis des années une opposition s'est faite entendre contre ce projet ridicule, en particulier grâce à des élus d'opposition qui se sont manifestés à de nombreuses reprises lors des conseils municipaux, par tract et autres blogs. Jusque là en vain.

Or il semblerait que de manière silencieuse la majorité municipale se soit (enfin) rangée à l'avis des plus sages et ait décidé d'abandonner le  projet.

En tout cas, dans les faits, la mairie montre tous les jours à quel point il est nul besoin de place de stationnement supplémentaires à cet endroit puisqu'au contraire elle utilise maintenant en permanence et depuis plusieurs années un des deux parking de surface disponibles pour y installer des attractions ludiques ou fonctionnelles.

D'abord utilisé pour y camper le baraquement de chantier de la médiathèque (2008/2010), puis une patinoire (2011), ensuite un manège et actuellement un trampoline, un des deux parking de la place de la Liberté est en permanence occupé à autre chose qu'au stationnement. Une situation qui d'ailleurs ne dérange personne puisque, comme l'ont toujours dit les opposants à la construction d'un parking à cet endroit, il n'y a PAS DE PROBLÈME DE STATIONNENENT, là.

Formidable ! La majorité municipale est enfin d'accord avec toute son opposition. Bravo Maurice !

Parking occupé par le (très long) chantier de la médiathèque

Déc. 2011 image empruntée au blog de Mr le maire. Merci





Place de l'église actuellement ...

NDLR : des esprits malins pourraient aussi imaginer que l'on cherche à supprimer en permanence des places de stationnement peut-être pour créer la pénurie et donc le besoin d'un parking souterrain ... malins !

dimanche 7 octobre 2012

jeudi 4 octobre 2012

Pom ... pom ... pidou, la procédure menée contre la nomination du Pr. Philippe Juvin se poursuit ... pom ...pom ...pidou.


Me Bertrand Joliff, qui qualifie cet arrêt de "non-événement", a précisé que la procédure de contestation de la nomination du Pr Juvin se poursuivait au fond devant le Tribunal administratif. Il espère que l'affaire sera audiencée d'ici fin 2012.



PARIS, 3 octobre 2012 (APM*) - Le Conseil d’État a rejeté mercredi le pourvoi de l'ancien chef du service des urgences de l'Hôpital européen Georges Pompidou (HEGP, Paris, AP-HP), le Dr Alain Davido, qui réclamait en référé la suspension de la nomination du Pr Philippe Juvin à la tête des urgences de l'HEGP (Hôpital Européen Georges Pompidou), a-t-on appris auprès de la haute juridiction administrative.

Le Tribunal administratif de Paris avait rejeté le 24 avril pour défaut d'urgence deux recours intentés en référé par le Syndicat des praticiens des hôpitaux publics (SPHP) et le Dr Alain Davido contre une décision du 21 septembre 2011 réorganisant le service des urgences de l'HEGP et une autre du 24 février nommant Philippe Juvin au poste de chef du service des urgences.

Le tribunal a considéré que la décision de nommer le Pr Juvin ne portait pas une "atteinte grave à sa situation personnelle et professionnelle", le Pr Davido continuant d'exercer son activité de praticien hospitalier urgentiste et de percevoir sa rémunération.

Le Dr Davido s'était pourvu en mai devant le Conseil d'Etat, arguant d'une motivation insuffisante de la décision par le juge des référés. Il estimait avoir démontré que "les très nombreux mandats du Pr Juvin lui interdisaient d'exercer correctement ses fonctions" selon l'arrêt dont APM a eu copie.

Le Dr Davido reprochait par ailleurs au tribunal de ne pas répondre à ses arguments sur l'atteinte grave à sa situation personnelle, en particulier "le discrédit que son éviction jetait sur sa réputation".

Le Conseil d'Etat a rejeté le pourvoi, suivant les conclusions du rapporteur public exprimées à l'audience le 20 septembre, estimant qu'aucun de ces moyens n'était de nature à permettre son admission.

Joint par l'APM, l'avocat du Dr Davido, Me Bertrand Joliff, qui qualifie cet arrêt de "non-événement", a précisé que la procédure de contestation de la nomination du Pr Juvin se poursuivait au fond devant le Tribunal administratif. Il espère que l'affaire sera audiencée d'ici fin 2012.

Le Dr Davido reproche notamment au Pr Juvin de cumuler plusieurs fonctions susceptibles de nuire à sa disponibilité, notamment celles de secrétaire national de l'UMP en charge des fédérations professionnelles, de maire UMP de La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine) et de député européen à Strasbourg, rappelle-t-on.

Source : Société Française de Médecine d'Urgence

* APM : Agence de Presse Médicale 33, avenue de la République 75011 PARIS France

mardi 2 octobre 2012

Philippe Juvin, maire UMP de La Garenne-Colombes méprise ses administrés et ses élus, c'est insupportable.


En voici l'explication : la date et l'ordre du jour des conseils municipaux sont fixés par le maire. La loi française oblige les maires à informer les élus et la population AU MINIMUM CINQ JOURS AVANT la tenue du dit conseil municipal. Cela ne veut évidement pas dire qu'il ne doit impérativement pas prévenir les élus et la population avant le cinquième jour qui précède la tenue du conseil.
C'est stupide, contraire au bon sens. C'est surtout irrespectueux pour les élus qui ont besoin de "plancher" sur les sujets et de préparer leurs dossiers.

C'est pourtant ce que Philippe Juvin fait depuis des années, prenant toujours et de manière assez vicieuse grand soin à ce que les élus (et donc les administrés) ne soient informés qu'à la dernière heure du dernier jour possible pour le faire. Dans toutes les autres villes, il en va tout à fait différemment, les conseils municipaux sont annoncés un petit mois à l'avance.

Cette pratique est méprisable à plus d'un titre et est peut-être symptomatique du caractère des personnes qui la pratique : aigris, méprisants, irrespectueux, ...

Mais si le maire méprise ses administrés et ses élus, nous nous ne le méprisons pas, nous le plaignons.

Comment en effet un maire peut-il vivre chaque jour de sa vie en tentant de baiser nuire à l'autre, à son travail, à l'organisation de son temps au motif qu'il n'est pas du même bord politique ? C'est une question que je me pose souvent. Faire de la politique comme cela, c'est moche. Comment ensuite expliquer à nos enfants, d'ailleurs comment le maire peut-il transmettre lui-même à ses propres enfants des valeurs de respect de la personne que lui-même n'applique pas ?

Nous vous laissons lire le billet d'un élu MoDem se plaignant ce mois-ci et pas pour la première fois du procédé. D'autres avant lui l'avaient fait. En vain..

http://www.la-garenne-democrate.com/garenne-colombes-infos/info.asp?id_info=152


NB : 12 octobre 2012 nous apprenons que pour la première fois dans l'histoire de Philippe Juvin, maire de la Garenne-Colombes, un planning des trois prochains conseils municipaux a été communiqué à l'avance aux élus d'opposition. Félicitations à Mr le maire et peut-être bravo aussi au rédacteur du billet ci-dessus. Comme quoi, il faut parfois savoir dénoncer fort, sans langue de bois. Quand quelqu'un tente depuis si longtemps de nuire à l'autre, il ne faut pas mâcher ses mots. Nous recommencerons autant que nécessaire.

Lire le billet sur le site du Modem

lundi 1 octobre 2012

Elus 2.0 nous informe ...




Philippe JUVIN n'a envoyé aucun message sur Twitter depuis au moins 5 jours.

Note : il est possible aussi que Twitter soit en maintenance. Vérifiez-le en consultant le compte de Philippe JUVIN sur Twitter.

Source : http://www.elus20.fr/philippe-juvin



Dernière minute : 01.10.2012 19h45 un tweet a été publié par le maire, ouf ! On pensait Twitter en panne ...