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lundi 16 décembre 2019

Escroquerie aux recours abusifs dans l'immobilier : mode d'emploi !


Immobilier : des promoteurs dénoncent une gigantesque escroquerie dans les Hauts-de-Seine

 

Derrière celle-ci on retrouve un homme, qui a bloqué la construction de 1.500 logements en multipliant les recours.

Vassili Perinet est devenu le cauchemar des promoteurs immobiliers dans les Hauts-de-Seine. A un tel point que la fédération des promoteurs immobiliers d'Ile-de-France (FPI-IDF) a décidé de porter plainte auprès du procureur de la République de Nanterre pour escroquerie et tentatives d’escroquerie contre cet homme de 35 ans, révèle Le Parisien. Car ce marchand de biens, qui est également représentant d’Iptiq Life, filiale d’une assurance basée au Luxemboug, bloque actuellement la construction de 1.500 logements à Asnières-sur-Seine, Boulogne-Billancourt, Colombes, Courbevoie, La Garenne-Colombes, Puteaux et Suresnes.
Comment ? En multipliant les recours abusifs : il en a déposé 20, dont dix pour la seule ville de Colombes, depuis 2018. Il propose alors aux promoteurs de retirer ces recours contre une somme d’argent, ce que dénonce la FPI-IDF. "Ces multiples et quasi systématiques recours contre les permis de construire n'ont vraisemblablement qu'un seul but : faire signer aux promoteurs des protocoles transactionnels. La situation devenait intenable, c'est pourquoi nous avons décidé d'aller en justice", justifie Pierre Bibet, délégué général de la FPI-IDF, dans les colonnes du Parisien.

30.000 euros pour retirer un recours

La technique de Vassili Perinet, qui n’a pas souhaité commenter ces accusations, semble bien rodée. Il aurait acheté aux enchères plusieurs biens situés dans le périmètre de futurs chantiers immobiliers. De quoi lui permettre de déposer ensuite un recours pour contester ce chantier, dont le côté abusif est découvert le jour de l’audience devant le tribunal administratif. Pressées par le temps, les entreprises préféreraient alors mettre la main à la poche.
"On voit bien que tous ces recours sont de simples photocopies, à tel point que lorsqu'il nous a envoyé le nôtre, il y avait une mauvaise adresse pour son bien. Et signe qui ne trompe pas, il avait ajouté, à la main, son numéro de portable. Ça prouve bien qu'il voulait négocier", accuse un professionnel, à qui Vassili Perinet a réclamé 30.000 euros pour retirer son recours.


"Ce type aggrave la situation"

"Le drame c'est que plusieurs procédures concernent des centaines de logements sociaux", dénonce Nicole Goueta, maire (LR) de Colombes. "On est déjà en pénurie et ce type de comportement aggrave la situation. De plus, il y a un véritable risque de ne pas toucher les subventions publiques à cause des dépassements de délais liés aux blocages des chantiers."
A lui tout seul, Vassili Perinet aurait ralenti ou bloqué 5% de la production annuelle des promoteurs d’Île-de-France. Reste à voir ce que le procureur de la République décidera, alors que le Parisien précise que ces recours abusifs sont rarement sanctionnés : sur 400 affaires depuis 2013, trois seulement ont abouti à une décision de justice.

Source : Capital.fr Frédéric Sergeur Publié le 15/12/2019 

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NDLR : petit joueur le sieur Périnet à côté de notre maire ...


mardi 16 mai 2017

Y a-t-il un maire à La Garenne-Colombes ? On en a pas l'impression quand on habite rue Médéric, non ?

Un chantier plus que "merdique" rue Médéric qu'il faudrait rapprocher des 140 caractères à la con publiés tous les jours par notre cher maire. Un abîme les sépare.





E-DI-FIANT !


dimanche 8 avril 2012

Des sac contenant (peut-être) de l'amiante abandonnés dans le quartier des Champs-Philippe. Un quartier lui-même abandonné à l'EPADESA ...

Des œufs de Pâques d'un nouveau genre ...
Les sacs de déchets stockés sur un chantier de démolition de la rue Jules-Ferry, à La Garenne-Colombes, suscitent un certain émoi dans le quartier. Des riverains ont été interpellés par la présence de sacs portant la mention « amiante ». Le maire, Philippe Juvin, s’efforce de les faire retirer dès aujourd’hui.

Le Parisien aujourd'hui


Ndlr : la rue Jules Ferry est située dans le quartier en rénovation des Champs-Philippe. Un quartier entier, représentant près du quart de la ville de La Garenne-Colombes cédé sans concertation et sans contrepartie par le maire UMP, le merveilleux Philippe Juvin à l'EPADESA (gestion du quartier de La Défense), un zone souvent décrite comme une zone de non-droit permettant aux promoteurs de faire à peu près ce qu'ils veulent ... la preuve. Il n'y aura plus de bandits immobiliers à La Garenne-Colombes, disait pourtant Philippe Juvin.

vendredi 18 novembre 2011

Les "bandits immobiliers" sont de retour à La Garenne-Colombes

On se souvient que le maire UMP de la Garenne-Colombes, le Pr. Philippe Juvin avait stoppé en 2007 un chantier (celui de la construction de loft rue Sartoris) , au nom du droit parce que des fenêtres auraient été ouvertes sur les limites mitoyennes (sic). Procès verbal du conseil municipal du 26.11.2007.

Il n'y a pas de place à La Garenne-Colombes pour les bandits immobiliers avait alors déclaré le maire, représentant l’État comme il aime le dire.

Baies vitrées transparentes donnant sur les voisins : illégal !



Or, à La Garenne-Colombes, on découvre aujourd'hui qu'un édifice public, la prochaine médiathèque municipale (dont le permis de construire initial avait déjà été jugé "illégal" par un tribunal représentant le peuple français) disposent aussi de fenêtres - plus exactement de grandes baies vitrées - parfaitement transparentes donnant sur la propriété mitoyenne (voir photo).
Les bandits immobiliers seraient-ils maintenant les bienvenus à La Garenne-Colombes ? La Garenne-Colombes serait-elle devenue une zone de non droit depuis l'élection du maire au parlement européen ? Ou plus simplement s'agirait-il d'une bourde (une de +) de l'adjoint en charge des grands travaux ?

Ndlr : la rédaction du Buzz a bien l'intention de demander aux voisins de la médiathèque, qui disposent d'un terrain clos, s'ils veulent bien accueillir le jour de l'ouverture au public de la médiathèque un barbecue naturiste avec tous les garennois qui comme nous et comme le maire refusent "les bandits immobiliers".

Naturistes aux lapins (de Garenne)
L'idée maitresse dont nous allons faire la promotion (comptez sur nous, nous savons faire) sera de participer à cette fête en tenue d'Adam et Ève ... histoire de montrer au promoteur de la médiathèque que le respect de l'intimité entre voisins, c'est important.

Voici le texte de la déclaration du maire, Philippe Juvin où il déclare la guerre aux bandits immobiliers qui ouvrent des fenêtres sur les voisins ... Vive la république, vive la nation, vive le droit ...